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		|           (7 notes) Cartoucherie - L'Epée de bois Jusqu'au dimanche 9 novembre 
	COMÉDIE DRAMATIQUE à partir de 12 ans. Le drame d’une agonie, c’est qu’on peut en rire jusqu’à en oublier les délabrements dont nous sommes responsables. Cet enjouement tragique de l’écriture de soi dans l’œuvre d’Eugène Ionesco est d’une modernité fracassante. La pièce Le Roi se meurt est un miroir renversé dont la préscience des réfl...
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						jpierre a écrit le 22/10/2025 à 15h06
					
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							Cette version du Roi se meurt, revisitée sous l'angle du clown, ne m'a pas totalement convaincu. Si la mise en scène se révèle inventive et les comédiens débordants d'énergie, offrant une interprétation solide, le choix de lecture burlesque semble parfois atténuer la profondeur tragique du texte. Cette pièce exigeante aurait sans doute gagné à une approche plus nuancée pour en révéler toute la portée. Un spectacle de qualité, mais qui peine à convaincre pleinement.
						
						
					
						Huguette Z. a écrit le 19/10/2025 à 05h40
					
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							Une excellente mise en scène du Roi se meurt dans l'univers circassien. Une mention spéciale pour l'acteur qui joue le Roi et nous fait passer du rire aux larmes.
						
						
					
						Colette O. a écrit le 06/10/2025 à 05h38
					
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							Merveilleuse interprétation au service d'une mise en scène originale dans un cadre très agréable.
						
						
					
						SylviA a écrit le 04/10/2025 à 05h51
					
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							Le roi se meurt, le roi est mort ... mais que vive son clown à l'Epée de Bois ! 
Je suis rarement entrée aussi rapidement dans un spectacle. A peine assise, conquise par l'ambiance cirque de la salle du trône, j'ai été prise d'un fou rire irrésistible à l'entrée d'un personnage (invité !) assez improbable que certes IONESCO n'aurait pas imaginé ! J'ai assez vite ensuite basculé dans l'humour de l'absurde du propos tragico-comique, qui reste (quand même) celui de l'humain et de son entourage face à sa propre fin,.
Quelques longueurs certes : c'est annoncé dans le texte, le roi a 1h28 pour mourir ..., J'ai aussi parfois un peu décroché. Très vite relancée par les surprises d'une mise en scène très clownesque, très interactive avec le public, avec un travail exceptionnel sur l'expression du visage grimé, la gestuelle du corps, allant même jusqu'à de véritables chorégraphies ... je suis passée d'émotion en émotio, du rire aux larmes. Très sensible à la fin par le pathétique monologue final, j'ai eu du mal à sortir du « sujet ». Furieuse envie de retrouver un texte que je n'avais jamais lu, voire de revoir la pièce jouée « autrement » j'ai jeté un coup d'oeil sur quelques vidéos d'autres spectacles ... mais NON, non, je veux rester sur ce Bérenger là !
						
					Je suis rarement entrée aussi rapidement dans un spectacle. A peine assise, conquise par l'ambiance cirque de la salle du trône, j'ai été prise d'un fou rire irrésistible à l'entrée d'un personnage (invité !) assez improbable que certes IONESCO n'aurait pas imaginé ! J'ai assez vite ensuite basculé dans l'humour de l'absurde du propos tragico-comique, qui reste (quand même) celui de l'humain et de son entourage face à sa propre fin,.
Quelques longueurs certes : c'est annoncé dans le texte, le roi a 1h28 pour mourir ..., J'ai aussi parfois un peu décroché. Très vite relancée par les surprises d'une mise en scène très clownesque, très interactive avec le public, avec un travail exceptionnel sur l'expression du visage grimé, la gestuelle du corps, allant même jusqu'à de véritables chorégraphies ... je suis passée d'émotion en émotio, du rire aux larmes. Très sensible à la fin par le pathétique monologue final, j'ai eu du mal à sortir du « sujet ». Furieuse envie de retrouver un texte que je n'avais jamais lu, voire de revoir la pièce jouée « autrement » j'ai jeté un coup d'oeil sur quelques vidéos d'autres spectacles ... mais NON, non, je veux rester sur ce Bérenger là !
						vv a écrit le 03/10/2025 à 16h31
					
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							On met un peu de temps à découvrir ce clown blanc, roi qui se meurt, d'autant que les paroles de Marguerite, la 1ère épouse, sont parfois peu audibles. Enfin, quand il apparaît, des tableaux se succèdent et donnent corps et splendeur à ce spectacle grinçant et néanmoins poétique. Ce roi-clown résiste, certes, mais son agonie fut un peu trop lente pour moi. Un spectacle, en fait, de pleine conscience.
						
						
					
						Julia V a écrit le 03/10/2025 à 11h31
					
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							Je suis venue voir cette version ayant en tête l'interprétation de Michel Bouquet à côté de sa femme la comédienne Juliette Carré. Un peu secouée au début, la version expérimentale du troupe «La coopérative 326» m'a finalement séduite par sa fraîcheur globale: la scénographie, les coutumes, le jeu des acteurs, le travail de l'ensemble du régis etc..malgré quelques longueurs.
Un seul HIC: j'avais du mal à entendre donc comprendre Marguerite, la Reine et première épouse.
Mon coup de cœur : L'interprétation de Jean Lambert-wild dans le rôle du roi Béranger le 1er.
Et un gros bisou à Pompon.
						
					Un seul HIC: j'avais du mal à entendre donc comprendre Marguerite, la Reine et première épouse.
Mon coup de cœur : L'interprétation de Jean Lambert-wild dans le rôle du roi Béranger le 1er.
Et un gros bisou à Pompon.
						Dominique A. a écrit le 02/10/2025 à 23h44
					
					
						
						
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							Mise en scène circassienne pétillante pour illustrer la finitude. Original et réjouissant.
						
						
					

 
		
		





