A CŒUR PERDU
(moyenne sur 18 notes)
TEXTE(S) d'Emmanuelle de Boysson, adaptation Hervé Bentégeat, mise en scène Véronique Boutonnet, avec Carmen Vadillo.
Cette femme revient d’un voyage terrifiant, merveilleux : la mort. Ce pays où les sensations et les émotions sont d’une intensité si puissante, qu'elle repousse le moment de revenir sur terre. Les frontières entre vivants et morts s’estompent. Ici tout devient jeu, espoir, amour, enfance et joie.
6, rue Pierre-au-Lard
75004 PARIS
M° Rambuteau / Hôtel de Ville
Tél: 01 42 78 46 42
Web: www.essaion-theatre.com
> Plan d'accès (Google Maps)
> Plan du métro (RATP)
75004 PARIS
M° Rambuteau / Hôtel de Ville
Tél: 01 42 78 46 42
Web: www.essaion-theatre.com
> Plan d'accès (Google Maps)
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CONDITIONS GRAND PUBLIC
Jusqu'au 14/1/2025: les Lundi et Mardi à 21h00. Places à 25€. Durée 1h10.
Ven 8/11 | Sam 9/11 | Dim 10/11 | Lun 11/11 | Mar 12/11 | Mer 13/11 | Jeu 14/11 | Ven 15/11 | Sam 16/11 | Dim 17/11 | Lun 18/11 | Mar 19/11 | Mer 20/11 | Jeu 21/11 | Ven 22/11 | Sam 23/11 | Dim 24/11 | Lun 25/11 | Mar 26/11 | Mer 27/11 | Jeu 28/11 | Ven 29/11 | Sam 30/11 | Dim 1/12 | Lun 2/12 | Mar 3/12 | Mer 4/12 | Jeu 5/12 | Ven 6/12 | Sam 7/12 | Dim 8/12 | Lun 9/12 | Mar 10/12 | Mer 11/12 | Jeu 12/12 | Ven 13/12 | Sam 14/12 | Dim 15/12 | Lun 16/12 | Mar 17/12 | Mer 18/12 | Jeu 19/12 | Ven 20/12 | Sam 21/12 | Dim 22/12 | Lun 23/12 | Mar 24/12 | Mer 25/12 | Jeu 26/12 | Ven 27/12 | Sam 28/12 | Dim 29/12 | Lun 30/12 | Mar 31/12 | Mer 1/1 | Jeu 2/1 | Ven 3/1 | Sam 4/1 | Dim 5/1 | Lun 6/1 |
21h00 | 21h00 | 21h00 | 21h00 | 21h00 | 21h00 | 21h00 | 21h00 | 21h00 | 21h00 | 21h00 | 21h00 | 21h00 | 21h00 | 21h00 |
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Derniers commentaires des adhérents
Jean-François Fouque (j2f.) a écrit le 31/10/2024 à 15h43
Note =
.
Carmen Vadillo, fait sienne les paroles
de l'autrice, elle défend bec et ongle la
trajectoire de cette histoire particulière,
dérangeante par moments et qui laisse
entrouverte une porte, très étroite, vers
un aspect positif de fin de vie terrestre.
.
j2f.
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Carmen Vadillo, fait sienne les paroles
de l'autrice, elle défend bec et ongle la
trajectoire de cette histoire particulière,
dérangeante par moments et qui laisse
entrouverte une porte, très étroite, vers
un aspect positif de fin de vie terrestre.
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j2f.
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Marcel F. a écrit le 29/10/2024 à 16h40
Note =
Quelle interprétation nous offre Carmen..remarquable..si le sujet peut paraître repoussant il ne l' est pas car instructif et plaisant. On recommande
Jean-Pierre M. a écrit le 23/10/2024 à 19h02
Note =
Entièrement d'accord avec le commentaire précédent de Damien S.
La vitalité de la comédienne sauve ce texte d'une platitude affligeante. À un moment sur la scène, l'auteure écrit son histoire puis se relisant déclare : "C'est nul" et je suis entièrement d'accord avec elle.
Effectivement, E.de Boysson parade à la fin de la pièce en expliquant que c'était tellement facile pour elle d'écrire ainsi son trentième livre...
J'ai vérifié son parcours littéraire très abondant.
Et sans vouloir être pédant (je ne suis qu'un simple et vieux médecin), je l'ai interrogée sur Épicure, sa Lettre à Ménécée et le fameux "La mort n'est rien pour nous"qu'elle m'a dit ne même pas connaître.
Elle nous détaille sa sortie, miraculeusement indemne, de l'anoxie cérébrale provoquée par son réel arrêt cardiaque de 30 mn suivi de 8 jours de coma ; et j'en suis bien content, c'est tout ce qui compte.
Dommage pour l'excellente Carmen Vadillo et sa pétillante ode à la vie.
Je rappelle enfin la belle anagramme de :
"La mort n'est rien pour nous" qui est
"Empruntons la route et rions"
La vitalité de la comédienne sauve ce texte d'une platitude affligeante. À un moment sur la scène, l'auteure écrit son histoire puis se relisant déclare : "C'est nul" et je suis entièrement d'accord avec elle.
Effectivement, E.de Boysson parade à la fin de la pièce en expliquant que c'était tellement facile pour elle d'écrire ainsi son trentième livre...
J'ai vérifié son parcours littéraire très abondant.
Et sans vouloir être pédant (je ne suis qu'un simple et vieux médecin), je l'ai interrogée sur Épicure, sa Lettre à Ménécée et le fameux "La mort n'est rien pour nous"qu'elle m'a dit ne même pas connaître.
Elle nous détaille sa sortie, miraculeusement indemne, de l'anoxie cérébrale provoquée par son réel arrêt cardiaque de 30 mn suivi de 8 jours de coma ; et j'en suis bien content, c'est tout ce qui compte.
Dommage pour l'excellente Carmen Vadillo et sa pétillante ode à la vie.
Je rappelle enfin la belle anagramme de :
"La mort n'est rien pour nous" qui est
"Empruntons la route et rions"
jpierre a écrit le 17/10/2024 à 16h19
Note =
Cette exploration de la vie post-EME (expérience de mort imminente) met en lumière la reconstruction psychologique sans entrer dans les détails physiques. La comédienne livre une performance remarquable, empreinte de vitalité et de sensualité. Cependant, la mise en scène, qui manque de fluidité, ne parvient pas à totalement me convaincre. Malgré cela, il s'agit d'une sortie théâtrale agréable à découvrir.
cc a écrit le 16/10/2024 à 13h36
Note =
Les EMI ne sont évidemment pas des expériences vécues par tout le monde.
Peu sont élus, et encore moins nombreux sont ceux qui osent en parler et raconter.
Ici, cette situation est décrite et documentée.
Si par moment je n'ai pas compris la volonté de retourner dans cet autre « état », j'ai par contre totalement adhéré aux moments euphoriques du personnage.
Ainsi, Carmen Vadillo est tour à tour bouleversante, sensuelle, danseuse, vibrante et finalement humaine.
Pour le reste, la mise en scène est correcte mais j'ai peu apprécier que la musique (très évocatrice) soit comme « coupée dans son élan » !
Il manque donc un petit quelque chose, notamment sur la fin puisque les spectateurs n'ont pas pu applaudir comme il se doit la belle performance de Carmen.
Et vous, que feriez vous si vous deviez passer 30 minutes de votre temps terrestre dans l'eau delà ?
L'Essaion est décidément un théâtre où il se passe régulièrement des moments incroyables.
Peu sont élus, et encore moins nombreux sont ceux qui osent en parler et raconter.
Ici, cette situation est décrite et documentée.
Si par moment je n'ai pas compris la volonté de retourner dans cet autre « état », j'ai par contre totalement adhéré aux moments euphoriques du personnage.
Ainsi, Carmen Vadillo est tour à tour bouleversante, sensuelle, danseuse, vibrante et finalement humaine.
Pour le reste, la mise en scène est correcte mais j'ai peu apprécier que la musique (très évocatrice) soit comme « coupée dans son élan » !
Il manque donc un petit quelque chose, notamment sur la fin puisque les spectateurs n'ont pas pu applaudir comme il se doit la belle performance de Carmen.
Et vous, que feriez vous si vous deviez passer 30 minutes de votre temps terrestre dans l'eau delà ?
L'Essaion est décidément un théâtre où il se passe régulièrement des moments incroyables.