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Photo: D.R.

Public
Grand public

STREET SCENES
(moyenne sur 2 notes)

OPÉRA direction musicale par Yshani Perinpanayagam, mise en scène et scénographie Ted Huffman, avec les artistes en résidence à l’Académie de l’Opéra national de Paris et les musicien·nes de l’Orchestre Ostinato.
Un mari jaloux, une femme sur le point d'accoucher, des voisins qui bavardent, des jeunes qui rêvent d'échapper la pauvreté… Street Scene dépeint les habitants et les drames d’un quartier délabré de New York par une journée de canicule. En mettant en musique la pièce du dramaturge Elmer Rice, Kurt Weill révèle la tragédie inhérente au quotidien de la classe moyenne new-yorkaise de l’entre-deux-guerres. Installé aux États-Unis dès 1935 pour fuir le nazisme, le compositeur crée en 1947 un « opéra américain » qui fusionne dans une partition fluide les influences européennes et le musical de Broadway. Cette nouvelle production de Street Scene, interprétée par les artistes en résidence à l'Académie de l'Opéra national de Paris et l'orchestre Ostinato, est présentée à la MC93 et constitue une nouvelle étape d’un partenariat de longue date entre les deux institutions.
MC 93 BOBIGNY
1 boulevard Lénine
BP 71
93000 BOBIGNY
M° Bobigny-Pablo Picasso
Tél: 01 41 60 72 72
Web: www.mc93.com

 > Plan d'accès (Google Maps)
 > Plan du métro (RATP)
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Le spectacle s'est joué dans ce lieu du 19/04/2024 au 27/04/2024.
CONDITIONS GRAND PUBLIC
Durée 2h00.

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Derniers commentaires des adhérents
Oana C. a écrit le 26/04/2024 à 06h19

  Note =
La fosse de l'orchestre au milieu d'une scène vide, habitée de spectateurs comme autant de citadins passifs dans la rue, est le symbole fort de cette image épurée d'une ville violente et conflictuelle où un fossé social sépare la vie grise et désillusionnée des protagonistes de leurs rêves. La musique de Kurt Weill vit underground et il l'a voulue à l'image du melting-pot social d'une métropole cosmopolite : dans le creuset de styles new-yorkais, des airs 'pucciniesques' côtoient une danse sportive de style boogie-woogie, des références à Gershwin, Wagner, au blues et au jazz, ainsi qu'une parodie d'opéra dans l'amusant « Ice Cream Sextet ». Une distribution pléthorique et les voix épatantes des 17 académiciens de l'Opéra de Paris incarnent de manière vibrante la fatalité du renoncement et l'impossibilité de rêver ensemble au-delà du clivage social.
Jean-François Fouque (j2f.) a écrit le 23/04/2024 à 12h42

  Note =
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En priorité, ce spectacle vaut le coup
pour les amples et nuancées qualités
vocales des interprètes et la musique
de Kurt Weill, dont le style s'étoffe de
l'ambiance américaine, Jazz et Blues.
Par contre, je suis moins séduit par la
mise en scène sans le moindre décor.
.
j2f.
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