Très belle pièce, bien interprétée. Et oui, pensons à nos enfants...

on s'ennuie un peu !!!

Dominique Valadié, comédienne d'ordinaire explosive, tire mal son épingle du jeu, Frédéric Pierrot, chien battu dans la série TV, veut se montrer plus positif dans la pièce et Cécile Brouste naturelle et seule personnage intéressante.
La mise en scène est lourde, le propos "mai 68", je me suis ennuyée.

Certainement la meilleure pièce vue depuis la rentrée , une mise en scène sobre et belle au service du texte . Des acteurs remarquables et un sujet qui donne à réfléchir , sans culpabilisation primaire comme c'est le cas souvent lorsqu'il s'agit du nucléaire .

De la responsabilité des "boomers" adeptes du progrès et de l'amour libre face à leurs enfants !
Si le sujet est intéressant, ni la mise en scène statique, ni le jeu feutré des actrices (souvent inaudibles) ne m'ont paru convaincants. J'attendais davantage d'humour noir pourtant annoncé, plus de dynamisme aussi, j'ai eu du mal à ne pas décrocher.

Tres bon moment de théâtre 🎭. Texte subtil, instructif et hélas ! vraiment d'actualité. Le jeu des comédiens est intéressant 🤔. Ai passé un bon moment de théâtre . Courez y .

Texte intéressant et très actuel sur le nucléaire et ses dangers, porté par trois acteurs formidables.

Texte intéressant sur un sujet difficile porte avec talent par F Pierrot et C Brune mais déçue par l interpretation de D Valadie trop souvent inaudible et butant régulièrement son texte

Ce spectacle autour d'une catastrophe (peut être nucléaire ou autre) se questionne sur le rapport des générations. Si l'on n'est plus productif doit on se sacrifier pour les générations plus jeunes, telle est la question? Cela me rappelle un film japonais on les personnes âgée s'isoler (et se laisser mourir) pour ne pas être un fardeau aux autres générations. Si nous n'avons pas de réponse dans ce spectacle, il pose le problème! l'ensemble est porté par de bons comédiens pour nous faire réfléchir

Nous étions deux, nous sommes ressortis de l'Atelier avec des ressentis très différents.
J'ai aimé l'interprétation des comédiens qui abordaient un thème difficile.
À voir pour se faire son opinion.

Un sujet complexe abordé de façon déconcertante par Un trio de comédiens excellent . Il faut ensuite
prendre le temps d'assimiler le contenu et la forme de la pièce.

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Hormis le jeu, le texte de cette pièce
n'a pas été, totalement convaincant,
pour moi...
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j2f.
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Pièce dérangeante, utile, qui nous fait face à des choix potentiellement dangereux, mal maitrisés aux conséquences mortelles. La mise en scène est sobre, l'éclairage en semi pénombre, le phrasé haché collent parfaitement au sujet. Ces trois ingénieurs, à la retraite, brillants, autrefois insouciants, doivent prendre la décision vitale pour l'avenir des enfants . Très belle interprétation

"Les Enfants" est une pièce contemporaine détachée du monde des vivants, une parenthèse de vie avec de nombreux traits d'humour, qui nous plonge dans la réalité politico-sociologique du monde actuel : Le sacrifice humain en est finalement le coût. C'est une pièce plus engagée qu'il n'y paraît, à la fois sur le plan environnemental, politique et idéologique. Si l'humour est en filigrane omniprésent, la pièce pose la question de la responsabilité des adultes face à l'avenir de leurs enfants. Cette pièce anglaise de Lucy Kirkwood montre également le caractère ubuesque de certaines situations, et de l'engagement humain qui peut aussi s'apparenter à une forme de renoncement. Sous les ressorts d'une comédie, cette pièce rentre aussi dans l'intimité très fine des personnages tout en soulignant leurs idéaux et leurs engagements. Belle interprétation de Cécile Brune et de Frédéric Pierrot.

Thème intéressant et bonne interprétation des comédiens

Nous avons été un peu déçu que la pièce n'aborde le sujet principal qui est la responsabilité de la génération des années 70 que très / trop tard dans la pièce.

Ahhh, c'est agréable de voir une pièce anglaise de notre temps, pas datée comme celles de David Hare
Sur un ton léger avec de belles réparties so british, on débarque dans un historique trio amoureux qui, à la soixantaine, face à un monde en décrépitude climatique, devient grave et doit choisir, malgré les habitudes et les perspectives sombres comment donner un sens à leur fin de vie
Les acteurs ont chacun un rôle fort, des sentiments, de l'esprit, de belles et talentueuses incarnations
Petit bémol pour ce décor en partie ajouré qui ne soutient plus les voix dès que les acteurs se tournent un peu. Cet artifice n'ayant que très peu de justification scénique, ce spectacle et cette distribution meriterait un décor plus réfléchi et abouti
Le propos est grave et fait reflechir
L'avenir de nos enfants doit être notre priorité
A voir, surtout que les sièges du théâtre nous plongent déjà dans l'inconfort 😳 de cette dystopie malheureusement possible

un texte intéressant mais pas séduit par la mise en scène et le jeu des acteurs.

Pièce très intéressante qui aborde beaucoup de thèmes. Mise en scène très dépouillée. J'ai été peu convaincue par l'interprétation de Mme Valadié trop effacée qui ne semble pas parvenir à incarner son personnage de rose. A voir malgré cette réserve.

Texte ambitieux mais à la portée de tous, qui traite de sujets forts et tragiques sans pour autant négliger l'humour. Très bonne mise en scène et interprétation parfaite (le jeu de Dominique Valadié peut dérouter ceux qui ne sont pas habitués à son style particulier). Bravo au Théâtre de l'Atelier d'avoir programmé ce spectacle qui donne envie de découvrir les autres pièces de Lucy Kirkwood.

Un texte intéressant qui aborde de nombreux sujets de société, d'amour, d'amitié et familiaux. Cécile Brune et Frédéric Pierrot tiennent la pièce, Dominique Valadié quant à elle est trop statique et récitante monocorde plutôt qu'actrice, c'est dommage son personne gagnerait à être plus habité. Mais je ne me suis pas ennuyée.

Pièce intéressante par son thème et sa mise en scène, déroutante par la lenteur du jeu. Catastrophe nucléaire et triangle amoureux se mêlent étonnamment. L aura de F.Pierrot inonde la scène surtout face au jeu plus terne des deux actrices

Complètement déconcertés et surtout déçus. Le sujet est difficile mais est surtout desservi par une mise en scène statique et bizarre.
Le jeu des comédiens est à revoir. D Valadie est inaudible et monolithique et se trompe de réplique à tout moment. F Pierrot en fait des caisses et je n'ai pas réussi à me détacher de son rôle d'En thérapie.
Seule la 3e actrice vaut le coup
Grosse déception

Très déçue par cette pièce à l'univers très glauque, la comédienne choisie pour le rôle de la maîtresse est peu audible et son jeu manque de relief.
Seul Frédéric Pierrot tire son épingle du jeu et parvient parfois à nous emporter dans son univers trouble.
Ämes sensibles s'abstenir car l'espoir est certes au bout du tunnel, mais avec un aller simple.

Une très belle pièce intelligemment mise en scène. Le texte est solide et raconte une vraie histoire. Mordant oui mais surtout vrai. Monsieur Pierrot est très bien certes mais les deux rôles de femmes sont merveilleusement interprétés par Madame Brune et Madame Valadié. Excellent

Un sujet difficile , mais très beau moment de théâtre . Bravo aux 3 acteurs !

Un texte de Lucy Kirkwood difficile mais lucide. Il fait penser à la catastrophe nucléaire du Japon vu par les ingénieurs, maintenant retraités, qui ont participés à sa construction. C'est très bien interprété par des comédiens de Haute Volée qui savent rendre cette pièce passionnante par leur questionnement sur les conséquences pour les nouvelles générations.

Lucy Kirkwood utilise la structure intemporelle du triangle amoureux pour explorer le conflit entre nos désirs et nos besoins à travers l'histoire d'une catastrophe profondément prévisible. Le triangle romantique sert à la fois de moteur d'intrigue et de métaphore pour d'autres conséquences inconsidérées du désir, en particulier dans un système économique qui dépend de la création d'appétits au lieu de les satisfaire. Ce que nous voulons - « la vie ou le sexe ou les enfants ou la nourriture ou l'électricité » - et l'ensemble de tous nos désirs devenus très difficiles à déprogrammer et dont l'expansion sans limites nous détruira. « L'électricité n'est pas un droit » dit Rose dans un monde de compteurs Geiger et de zones d'exclusion où la destruction est littérale : l'assertion raisonne sans appel et donne la chair de poule dans le contexte actuel.
Les occasions pour découvrir la dramaturgie britannique contemporaine sont rares, ne ratez pas cette opportunité !

Où l'on découvre (enfin) que Pierrot est l'ami des enfants.

Je me suis assoupie, puis j'ai regardé ma montre, souvent ...
Cette pièce est longue à installer, avant de devenir intéressante. Dommage ! 3 très bons acteurs jouant des sexagénaires s'interrogeant sur leur propre vieillesse et surtout sur l'avenir de leurs enfants.
Du beau travail malgré tout, pour un résultat qui ne m'a pas convaincue.

Lucy KIRKWOOD est une auteure majeure du théâtre anglo-saxon, elle n'a pas quarante ans et a déjà fait jouer 8 de ses pièces, toutes nommées pour les prix de théâtre les plus prestigieux et 4 d'entre elles dont « The Children » les ont obtenus. Les thèmes abordés dans son œuvre sont en phase avec lés questionnements sociaux, éthiques, politiques, et - Les Enfants - en est un bon exemple. Les comédiens britanniques de la English Stage Company, en résidence au London Royal Court Theater, la référence en ce qui concerne le théâtre contemporain, les comédiens de cette troupe donc, sont aguerris aux rôles les plus exigeants. Et j'ai retrouvé dans les interprétations de l'excellente Cécile Brune - plus de vingt ans à La Comédie Française- , de Dominique Valadié - intense interprète dirigée par Vitez et Alain Françon notamment - et de Frédéric Pierrot, sorti d'En Thérapie avec l'aura de son interprétation qui nous a tant marqué, parfait dans ce rôle tout autre. Le thème de la pièce est bien résumé dans le feuillet aimablement remis par le théâtre, je ne peux que vous inciter à voir cette pièce aux grandes qualités, qui me fait notamment penser à ce théâtre anglo-saxon mais pas que, que Laurent Terzieff savait si brillamment transposé pour les spectateurs exigeants, appréciant le répertoire contemporain.
La pièce de Lucy Kirkwood porte bien son titre. Que leur laissons nous en héritages environnementaux à ces-nos enfants, tout en nous questionnant sur la façon d'aborder, de vivre, la troisième phase de nos existences. Vous ne regretterez en rien votre soirée et l'attractivité du tarif Starter P+ est aussi un coup de pouce à cette pièce exigeante et par la même, marquante.

pièce difficile, il faut être attentif superbement bien jouée, bien placée le son ne m'a pas posé de problème

Une mise en scène exigente, finalement minimaliste mais on ne s'en rend pas compte, pour une pièce exigente, subtile, difficile. Elle est très bien jouée.
Chaque personnage réagit comme il peut à la catastrophe et à ses conséquences, sans emphase, cela donne un impression de lenteur, on est gagné par le malaise de leur nouvelle vie post-catastrophe. A fin du spectacle, les comédiens, plongés dans l'histoire, comme le public, peinent à émerger pour partager le moment de joie des applaudissements. Étrange sur le moment mais finalement, chacun s'est rappelé qu'il était au théâtre et la performance des comédiens à été saluée !
Ma fille de 17 ans qui m'accompagnait a bien aimé la pièce et a très bien saisi la subtilité des émotions exprimées par les personnages.

C'est certes une Comédie difficile, mais joué remarquablement avec humour, justesse, et gravité. Le sujet est sérieux et tellement d'actualité, certes il est vrai qu'il faut améliorer le son du dialogue des comédiennes inaudible au démarrage.
Mais vraiment de par la qualité des comédiens, du sujet traité.... Il faut aller voir ce spectacle

"Perplexe" est mon état d'esprit après avoir assisté à cette pièce qui vient de débuter à Paris. A améliorer le son au début:les comédiennes commencent un dialogue trop intimiste sans micro.Bien joué, ce texte déroute, il faudra trouver le public qui accepte la difficulté, dans le contexte mondial actuel le sujet du nucléaire bouscule. Bref je connaissais le thème, j'ai essayé toujours curieuse, et souhaite que d'autres commentaires viennent compléter le mien.