Zoom par Samuel Ganes
Le Simulateur
Maxime va vous apprendre l’art de simuler
Il débuta comme humoriste dans des one-man shows, puis il a parfait son statut de comédien à travers des pièces de théâtres humoristiques à succès. Maxime nous revient aujourd'hui au Théâtre de la Boussole, dans une pièce, «Le Simulateur», dont il est interprète mais aussi auteur.
Légitimement, petit devient grand :
« Dès mon premier « seul en scène » à mes débuts sur les planches, je sentais et savais que je voulais jouer dans des pièces de théâtre, des comédies avec une vraie distribution et une équipe. J'avais l'envie, mais pas l'expérience. C'est pourquoi avec une certaine humilité et un souci d'apprendre, j'ai préféré prendre mon temps. De mon premier one-man dans ma province lilloise aux pièces comme «Le Clan des divorcés» à «Le siècle sera féminin ou ne sera pas» à Paris, j'ai beaucoup évolué. »
Il en est de même pour l'écriture :
« Le seul-en-scène est un exercice fabuleux pour un interprète-auteur, c'est un laboratoire qui permet de tout expérimenter sur notre qualité à travers l'écriture et le jeu. On peut remettre en question, tester de nouvelles choses du jour au lendemain, et par cette « interactivité » gagner en qualité. C'est pourquoi mes spectacles se sont bonifiés avec le temps. Aujourd'hui, je suis passé d'un besoin d'écrire des textes pour moi au besoin d'écrire une vraie pièce pour des comédiens. Avec cette première pièce je voulais aborder un sujet qui est propre à tous les comédiens, mais aussi à la plupart des hommes dans leurs rapports de séduction : l'art de la dissimulation, du mensonge, avec cette spirale pathétique où on passe de la peur d'être découvert à l'envie de fuir ou de tout dévoiler. J'ai voulu apporter une part burlesque, voir d'absurde, et Sylvain Meyniac, à travers sa mise en scène, a su en faire une comédie rythmée et efficace. »
« Dès mon premier « seul en scène » à mes débuts sur les planches, je sentais et savais que je voulais jouer dans des pièces de théâtre, des comédies avec une vraie distribution et une équipe. J'avais l'envie, mais pas l'expérience. C'est pourquoi avec une certaine humilité et un souci d'apprendre, j'ai préféré prendre mon temps. De mon premier one-man dans ma province lilloise aux pièces comme «Le Clan des divorcés» à «Le siècle sera féminin ou ne sera pas» à Paris, j'ai beaucoup évolué. »
Il en est de même pour l'écriture :
« Le seul-en-scène est un exercice fabuleux pour un interprète-auteur, c'est un laboratoire qui permet de tout expérimenter sur notre qualité à travers l'écriture et le jeu. On peut remettre en question, tester de nouvelles choses du jour au lendemain, et par cette « interactivité » gagner en qualité. C'est pourquoi mes spectacles se sont bonifiés avec le temps. Aujourd'hui, je suis passé d'un besoin d'écrire des textes pour moi au besoin d'écrire une vraie pièce pour des comédiens. Avec cette première pièce je voulais aborder un sujet qui est propre à tous les comédiens, mais aussi à la plupart des hommes dans leurs rapports de séduction : l'art de la dissimulation, du mensonge, avec cette spirale pathétique où on passe de la peur d'être découvert à l'envie de fuir ou de tout dévoiler. J'ai voulu apporter une part burlesque, voir d'absurde, et Sylvain Meyniac, à travers sa mise en scène, a su en faire une comédie rythmée et efficace. »
Paru le 14/01/2015